La production de riz a subi des pertes importantes cette année, nottament en raison du passage du cyclone Nargis en Birmanie, qui a causé d'importantes pertes dans ce pays qui est l'un des plus gros producteurs mondiaux. Certains pointent aussi du doigt les grossistes, qui stockeraient les céréales en vue de faire grimper les cours et de les revendre au prix fort.
Si dans beaucoup de pays sous-développés il n'est pas imaginable de s'alimenter sans riz, c'est en revanche pour nous tout à fait possible pour nous : nous disposons d'un grand choix de sources d'alimentations et 1 euro de plus ou 1 euro de moins, ce n'est pas cela qui va mettre en danger notre compte bancaire. On pourra par exemple lui substituer du quinoa ou du blé concassé. Avec un plat de poisson, pourquoi ne pas remplacer le riz par un tian de légumes ? C'est aussi un très bon accord. Si l'on n'imagine pas se passer de riz, on pourra plutôt se tourner vers le riz de camargue qui est cultivé aux coûts élevés du système social français et qui n'est donc sans-doutes pas ou peu exporté à l'international.
Si une telle attitude était massive dans nos pays et durable sur au moins une année, alors il est probable que les cours mondiaux chuteraient et que la famine pourrait être épargnée dans bien des familles.
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